Avec
Et puis COPLAN est lancé sur l'affaire. Il s'approche de l'engin, l'explore mais l'engin garde ses secrets. La soucoupe reste silencieuse comme le sphinx et l'énigme monte d'échelon en échelon jusqu'à devenir internationale. Beaucoup craignant ce que pourrait représenter l'engin veulent sa destruction. Un commando puissamment armé dont on ignore la provenance intervient.
Et le problème est transféré entre les mains de COPLAN après l'échec de l'attaque. Il va remonter la filière jusqu'à trouver le point de départ du complot et les raisons de ceux qui ont voulu intervenir : "...Notre monde est trop favorable à l'éclosion de la vie pour ne pas être convoité par d'autres espèces, comme terrain de colonisation ou d'expériences biologiques..." déclare un personnage douteux.
Je ne vous raconte pas ce qu'il advient de la soucoupe, c'est d'ailleurs assez surprenant mais je vous livre le message final de Kenny : "... Ce qui m'a beaucoup frappé, moi, dans cette singulière aventure, c'est que les actes de tous les protagonistes ont été inspirés et dominés par la peur tant ici qu'ailleurs sur
Il me faut ici remercier JEAN-PIERRE ANDREVON sans qui ces articles n’auraient jamais été écrits s’il ne m’avait communiqué la correspondance qu’il eut avec Gaston Van Denpanhuyse et Jean Libert à propos des volumes publiés dans la collection ANTICIPATION sous le pseudonyme de JEAN-GASTON VANDEL.
CHARLES MOREAU
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